Showing posts with label Negócio. Show all posts
Showing posts with label Negócio. Show all posts

Saturday, February 25, 2012

La Gaspésie, une nouvelle Alberta?

Alexandre Shields   25 février 2012

Photo : Source Pétrolia

Pétrolia compte forer dans un nouveau secteur qui pourrait contenir 100 millions de barils de pétrole

 

L'entreprise Pétrolia compte forer de nouveaux puits d'exploration pétrolière dans un secteur de la Gaspésie qui pourrait receler plus de 100 millions de barils d'or noir et qui est situé au cœur d'une structure géologique semblable à celle ayant mené au premier boum pétrolier en Alberta. Les dirigeants de la société ont aussi les yeux rivés sur l'île d'Anticosti, où ils ont mis la main sur des permis d'exploration qui appartenaient auparavant à Hydro-Québec. La valeur des hydrocarbures récupérables devrait y dépasser les 100 milliards de dollars.

Alors que le débat sur l'exploitation de l'énergie fossile au Québec se concentre essentiellement sur la question des gaz de schiste, les entreprises qui lorgnent du côté pétrolier sont plus actives que jamais. Pétrolia, qui mène plusieurs projets d'exploration en même temps, compte d'ailleurs forer deux nouveaux puits dans les prochaines semaines dans un secteur qu'elle a nommé «projet Bourque», près de Murdochville.

«Ce projet pourrait révéler des accumulations impressionnantes de pétrole», a fait valoir hier son président, André Proulx, au cours de l'assemblée annuelle de l'entreprise. «Par sa taille, la structure de Bourque pourrait contenir 100 millions de barils de pétrole facile à exploiter et dont la rentabilité ne fait pas de doute.» Pétrolia a d'ailleurs déjà investi trois millions de dollars dans des relevés sismiques dans le secteur. Quant à la zone d'exploration, elle recoupe essentiellement deux permis détenus depuis 2009. Ceux-ci coûtent au total 3753,90 $ par année — à raison de 10 ¢ l'hectare —, selon ce qu'on peut calculer à partir des données du ministère des Ressources naturelles et de la Faune.


Le potentiel en or noir de la Gaspésie risque d'être encore plus important, puisque Pétrolia a constaté que la zone explorée renferme une structure géologique semblable à ce qu'on retrouve dans certaines secteurs de l'Alberta, secteurs qui ont vu naître un véritable boum pétrolier au XXe siècle. «Les connaissances géologiques acquises jusqu'à maintenant sur le bassin de Gaspé, la zone située entre Gaspé et Murdochville, laisse entrevoir une potentiel de 300 millions de barils de pétrole», a expliqué hier M. Proulx. La vidéo de présentation précédant l'assemblée de l'entreprise soulignait en outre que Pétrolia et Junex, qui recherchent toutes deux des gisements en Gaspésie, ambitionnent de faire de la région «la nouvelle Alberta».


Les deux sociétés sont déjà très actives tout près de la ville de Gaspé, où leurs activités ont soulevé certaines critiques, notamment de la mairie. Pétrolia s'apprête tout de même à forer un troisième puits qui devrait lui permettre de préciser comment lancer la première exploitation pétrolière commerciale du Québec. Le potentiel de sa propriété nommée «Haldimand» est évalué à huit millions de barils d'or noir.


Et ce ne pourrait être qu'un début. «Haldimand, c'est bien sûr la possibilité de mettre en production un gisement sur une base commerciale, mais c'est surtout l'indication qu'on pourrait découvrir plusieurs autres gisements de ce type dans le secteur», a insisté le président de Pétrolia. L'entreprise a également acquis un terrain dans le port de Gaspé afin d'y construire des réservoirs pour stocker le pétrole brut avant son envoi à la raffinerie d'Ultramar près de Lévis. Reste à déterminer s'il sera transporté par bateau ou par train.


Du pétrole a déjà été extrait lors de l'exploration à Gaspé, générant des revenus de 216 000 $. Mais aucune redevance n'a été versée à l'État, ce que permet la loi. L'entreprise a aussi reçu 3,3 millions de dollars d'«aides gouvernementales à l'exploration» depuis deux ans. Et aucun des projets en Gaspésie n'est soumis aux règles de l'évaluation environnementale stratégique lancée par le gouvernement Charest pour étudier les industries pétrolière et gazière.


150 milliards de dollars?


Les espoirs de découverte majeure d'hydrocarbures demeurent par ailleurs importants du côté de l'île d'Anticosti. Prenant acte des similitudes entre la formation géologique de la plus grande île du Québec et un important champ pétrolifère américain, il serait possible d'estimer le taux de récupération du pétrole de schiste d'Anticosti à environ 5 %. Une firme indépendante a déjà évalué le potentiel contrôle par Pétrolia à 30 milliards de barils. Au prix actuel, soit 100 $ le baril, cela accorderait une valeur brute de 150 milliards de dollars à la ressource exploitable. Cela sans compter les hausses attendues des prix sur les marchés.


Mais Pétrolia prévoit au moins trois nouveaux forages afin de préciser le potentiel. Il est très probable qu'il faudra alors recourir au controversé processus de fracturation hydraulique, une méthode jamais tentée au Québec dans le cas du pétrole. Le potentiel total de l'île est évalué, pour le moment, à 40 milliards de barils.


Et malgré une demande formelle du Regroupement pour la responsabilité sociale des entreprises, André Proulx a catégoriquement refusé de dire ce qu'a obtenu Hydro-Québec en 2008 lorsqu'elle a cédé ses permis d'exploration à Pétrolia. «On a aucun intérêt à le faire. Si on le fait maintenant, ce sera négatif pour l'entreprise, a-t-il répondu. Quand nous allons décider que c'est opportun pour les actionnaires et pour la population du Québec, ça va nous faire grand plaisir de le dévoiler.» M. Proulx a eu droit aux applaudissements d'actionnaires présents après avoir de nouveau fermé la porte à la divulgation de cette entente qui concerne une ressource non renouvelable appartenant en théorie aux Québécois.


En plus du pétrole, André Proulx aimerait bien un jour exploiter le gaz naturel d'Anticosti pour le transporter — à l'aide d'un gazoduc qui reposerait sur le lit du Saint-Laurent — vers des villes comme Sept-Îles. Selon lui, le développement du Plan Nord nécessitera un approvisionnement en gaz pour la Côte-Nord. Bref, les projets devraient se multiplier au cours des prochaines années, à la faveur de la hausse des prix de l'énergie. Et selon M. Proulx, il est évident que les Québécois feront le choix de laisser le secteur privé exploiter les ressources fossiles qui se trouvent dans le sous-sol: «Le gros bon sens nous dit que le Québec ne passera pas à côté d'une telle opportunité.» 

------------------------------------------

Cordialement,

Alexandre

Thursday, August 4, 2011

Should Alberta's cross-border oil pipeline be extended to Texas?

Date: July 9, 2011 2:14 PM

 TransCanada's $7-billion Keystone Pipeline project would more than 
double  the volume of oil shipped from Canada into the United States. 
(Eric Hylden/ Grand Forks Herald/Associated Press)

Alberta's energy minister says he's going to push Ottawa to promote TransCanada's Keystone XL pipeline to the U.S. government.  

"I'm certainly going to try to persuade [Natural Resources Minister Joe Oliver] that the federal government, now that they have a majority, needs to take a more active role in promoting this project," Ron Liepert told Chris Hall, host of CBC Radio's The House.

The current Keystone pipeline is nearly 3,500 kilometres long and pumps 500,000 barrels of crude oil a day from Hardisty, Alta., to refineries in Oklahoma and Illinois.

The proposed pipeline extension, Keystone XL, would bring Canadian oil all the way to Houston and Port Arthur, Texas, on the Gulf of Mexico.

If the expansion wins regulatory approval, TransCanada expects it to start up some time in 2013.

The expansion would more than double the volume of oil shipped from Canada into the U.S. And Liepert said a pipeline to the U.S. Gulf Coast would expand Canada's energy industry beyond the U.S. market.

The project has faced opposition in the U.S. Critics don't like the idea of what they call the "dirtiest oil in the world" making the trip through the American Midwest.

The U.S. Environmental Protection Agency has expressed concerned about the risk of oil spills that could affect drinking water and sensitive ecosystems, as well as the effect of greenhouse gas emissions associated with the expansion.

The current Keystone pipeline has experienced leaks, including a small one in Kansas in June and a larger one in North Dakota in early May.

Should Alberta's cross-border oil pipeline be extended to Texas? Should the federal government lobby Washington on behalf of the Alberta oil industry to win approval? Let us know what you think. 
 --------------------------------------------------------------------------------------------
Abs. 
Alexandre

Friday, April 15, 2011

Reunião dos Brics termina com apelo para reforma política na ONU

Brasil, Rússia, Índia, China e África do Sul pedem reformas na ONU, no FMI e no Bird. Na última votação do Conselho de Segurança, os quatro primeiros países se posicionaram igualmente



How Hwee Young, Pool












Os líderes do grupo do Brics (Brasil, Rússia, Índia, China e África do Sul) terminaram nesta quinta-feira (14) sua reunião de cúpula, da qual saiu um documento apelando para a necessidade de se reformar o Fundo Monetário Internacional (FMI), o Banco Mundial (Bird) e, principalmente, a Organização das Nações Unidas (ONU). Segundo a declaração, endossada pelos cinco membros, a reforma na ONU é necessária para que a entidade seja "mais efetiva, eficiente e representativa" e possa "tratar os desafios globais atuais com maior êxito". 
2011 é um ano importante para os Brics justamente porque, coincidentemente, todos os países fazem parte do Conselho de Segurança (CS) da ONU. A representatividade deles é tanta que a própria presidente Dilma Rousseff chegou a afirmar que "a reforma da ONU e de seu Conselho de Segurança são essenciais" porque "não é possível que comecemos a segunda metade do século 21 vinculados a um acordo institucional criado no pós-guerra". O problema é que, apesar da vantagem numérica, apenas Rússia e China são membros permanentes do CS e têm poder de veto, enquanto Índia, Brasil e África do Sul ocupam cadeiras rotativas. 

"China e Rússia reiteram a importância que dão ao status da Índia, Brasil e África do Sul nos assuntos internacionais e entendem e apoiam suas aspirações de terem maior representatividade na ONU", afirma o documento. Nesse sentido, Dilma destacou a necessidade de "unir esforços, sempre a partir do entendimento" e "sem precipitação", e acrescentou que "a diplomacia e a negociação devem ser privilegiadas" na reforma da ONU. 

Sobre a reforma no FMI, o Brics pede uma reforma no sistema financeiro e monetário internacional, que utiliza, hoje, quatro moedas para realizar transações (dólar, euro, o iene e a libra esterlina), todas de países do primeiro mundo e nenhuma das quais utilizadas nesses países.

O primeiro-ministro indiano, Manmohan Singh, reafirmou a importância de “intensificar as consultas para enfrentar os principais desafios políticos e econômicos", e lembrou que o grupo persegue o objetivo de reformar os “instrumentos globais de governo para fazê-los verdadeiramente representativos diante das realidades contemporâneas". 

O presidente chinês, Hu Jintao, foi o único que não chegou a mencionar as questões envolvendo a ONU e o CS durante seu discurso na coletiva após a reunião, mas ele lembrou da importância do aumento da representação dessas cinco economia no mercado mundial, que podem contribuir para a "prosperidade comum do mundo". 

Na coletiva, Dilma afirmou que "o Brics não está organizado contra nenhum grupo de países, na realidade trabalhamos pela cooperação global". Seu colega indiano acrescentou que "como membros do Grupo dos Vinte (G20, que reúne os países ricos e os principais emergentes) o Brics trabalha de perto com o resto do mundo e seguirá fazendo o mesmo para participar da reunião do G20 na França (em novembro)”. 

Já o presidente da África do Sul, Jacob Zuma, que participa pela primeira vez como membro do Brics, seu país tem uma importância especial por estar no continente africano e desempenhar um papel essencial no desenvolvimento daquela região, considerada a mais pobre do mundo. 

O documento final também faz referência à intervenção militar na Líbia, tema que mostrou claramente como os países do Brics se posicionam na contramão dos países ocidentais desenvolvidos. "As partes deveriam resolver suas diferenças através de meios pacíficos e do diálogo, no qual a ONU e organizações regionais deveriam ter um papel apropriado", afirma o documento. 
----------------------------------------------------------------
Abs.

Alexandre

Monday, April 11, 2011

Mineração vive "boom" de aquisições

No Brasil, as operações de fusão e aquisição do setor mineral movimentaram US$ 17,8 bilhões no ano passado


Fonte: Jornal Hoje em Dia
Bruno Porto - Repórter - 10/04/2011 - 22:34




As fusões e aquisições do setor de mineração no Brasil movimentaram, em 2010, US$ 17,8 bilhões. Somente em aquisições, foram US$ 13,5 bilhões. As operações no Brasil representaram 2% do total de incorporações segmento no mundo. O volume de aquisições no Brasil cresceu quase 300% sobre 2009, quando os negócios movimentaram US$ 3,4 bilhões.

Com esse crescimento, o país saiu do sexto para o terceiro lugar no ranking de volume de transações, atrás do Canadá e da Austrália, e acima da China, quarta colocada. No mundo, as fusões e aquisições movimentaram US$ 113,7 bilhões no ano passado, volume 89% superior ao do ano anterior. Os números fazem parte de estudo realizado pela multinacional de consultoria Ernst & Young


Os negócios com ouro, carvão e aço concentraram 55% das transações. O minério de ferro representou 9%. No Brasil, a mineração de ferro respondeu por 40% do total. Em volume financeiro, a Austrália lidera o ranking, com 24% do montante movimentado em fusões e aquisições.

A tentativa chinesa de diminuir sua dependência de minério de ferro e outros insumos deverá alimentar o mercado de fusões e aquisições, especialmente no Brasil, onde os asiáticos já fecharam negócios. Também vai dar ainda mais fôlego a este movimento o processo de verticalização da produção de aço, que exige investimentos em mineração.

Recentemente, a Usiminas fechou com a japonesa Sumitomo uma sociedade que culminou na criação da Mineração Usiminas. Para ter uma fatia de 30% na empresa, a Sumitomo </CW>desembolsou US$1,929 bilhão.
Para o sócio da Principal Investimentos, Marcelo Cheyne, o movimento de concentração na mineração está no início e será natural perceber aumento no volume de transações nos próximos anos. “O crescimento percentual não será mais tão alto em virtude de uma base de comparação mais forte, porém os valores vão aumentar porque esta é a tendência”, afirmou.

O levantamento da Ernst & Young conclui que este ano haverá uma continuidade do processo de fusões e aquisições no setor de mineração. Exemplo disso aconteceu na semana passada, quando a Vale fez uma proposta para adquirir a sul-africana Metorex Limited, produtora de cobre e cobalto, pelo montante de US$ 1,125 bilhão. A empresa tem suas ações negociadas na bolsa de Johannesburg.

A oferta, que já foi aprovada pelo conselho de administração da Vale, precisará do apoio de pelo menos 75% dos acionistas da Metorex com direito a voto. Conforme fato relevante, a Vale já conta com o compromisso irrevogável de acionistas da Metorex que representam 25,4% do capital da empresa.

Abs.

Alexandre

Thursday, March 10, 2011

Government of Canada Strengthens Commitment to Mineral Exploration

Natural Resources Canada
2011/32
March 7, 2011


TORONTO — Canada’s world-leading exploration and mining industry, an important source of employment and an economic driver for the country, will benefit from a new federal investment in mineral exploration geoscience.
Speaking at the annual Prospectors and Developers Association of Canada conference, the Honourable Christian Paradis, Minister of Natural Resources, today announced the third renewal of the Targeted Geoscience Initiative (TGI). The Government of Canada will provide funding of $25 million over five years ― more than double the original two-year allocation of $12 million ― to help develop new ways of exploring for deep mineral deposits.
“The Government of Canada recognizes that modern geoscientific information can help lower industry’s exploration risks and support the search for undiscovered natural resources,” said Minister Paradis. “We are committed to fostering economic growth throughout Canada, improving our global competitiveness and helping create local employment in mineral-based communities.”
Led by Natural Resources Canada, the renewed Targeted Geoscience Initiative will provide integrated geoscience knowledge regarding areas of high mineral potential, with the aim of lowering risk and stimulating private-sector resource exploration. The TGI program objectives are guided by the research needs of Canada’s exploration industry. The program is a partnership initiative delivered in collaboration with provincial and territorial geological surveys, and with significant participation by universities.
While the large majority of TGI activities will occur south of the 60th parallel, some will take place in Canada’s North, complementing Natural Resources Canada’s ongoing Geo-mapping for Energy and Mineral (GEM) program.
Announced by Prime Minister Stephen Harper in 2008, GEM is a five-year, $100-million geological mapping program to provide the geoscience information necessary to encourage northern economic development through lowering investment risk by private sector exploration companies, and to assist governments in making informed land-use decisions.
A key activity of the GEM program is collecting new field data and introducing innovative concepts that help improve our understanding of northern resource potential. To date, 24 regional geophysical surveys have been completed, and 310 new geoscience maps have been published, with 11 new maps released today and an additional 20 to be released on April 1, 2011.
Past successes of publicly funded geoscience in Canada include the discovery of copper, zinc and gold deposits in northern Manitoba and diamonds in the North. Every dollar spent on public geoscience leads to five dollars in private sector investment in exploration spending and $125 in discovered resources. Canada is now ranked second in the world in terms of value of diamond production.

The following media backgrounders are available at http://www.nrcan-rncan.gc.ca/media/index-eng.php:
  1. Targeted Geoscience Initiative-4: Increasing Deep Exploration Effectiveness
  2. Geo-mapping for Energy and Minerals: New Geoscience Maps for Nunavut
NRCan's news releases and backgrounders are available at www.nrcan.gc.ca/media/index-eng.php.



Abs.

Alexandre

Saturday, March 5, 2011

Ferrous inicia projeto com investimentos de US$ 3,7 bilhões

Empresa já explora lavras em Brumadinho e Congonhas e aguarda Licença de Operação para mina em Itatiaiuçu.










Foto: Mina de Esperança, Congonhas, MG.


A Ferrous Resource do Brasil, controlada por fundos de investimento do Brasil, Estados Unidos, Inglaterra e Alemanha, deverá receber, ainda no primeiro semestre deste ano, a Licença de Operação (LO) da mina de Santanense, em Itatiauçu, o que eleverá em 500 mil toneledas a previsão inicial de comercializar 2,5 milhões de toneladas de minério de ferro em 2011. Além da mina Santanense, as lavras de Esperança, em Brumadinho, e Viga, em Congonhas, já iniciaram extração por meio de Licença de Instalação (LI). A emissão das licenças por parte do órgão ambiental marca o início dos investimentos orçados em US$ 3,7 bilhões em um projeto integrado de mineração que consiste na construção de um porto, um mineroduto e a extração nas minas.

O porto, que será erguidono Espírito Santo, já possui Licença Prévia (LP). Já a LI deve ser emitida em até 90 dias. No caso do mineroduto, que ligará a unidade de Congonhas ao porto, com uma extensão de 400 quilômetros, as audiências públicas já foram realizadas e a LP deve sair também em até 90 dias. A expectativa é que até o meio do ano os empreendimentos estejam todos liberados para início das obras.

A empresa negocia com uma trading contratos no mercado transoceânico para destinar a países asiáticos pelo menos 750 mil toneladas este ano. O embarque ocorrerá via Porto de Itaguaí, na baía de Sepetiba (RJ). Este volume direcionado ao mercado externo poderá dobrar caso a mineradora vença novamente a licitação que lhe assegura acesso ao terminal portuário, que pertence a Vale. A gigante do setor vai abrir nova concorrência no segundo semestre.

Os 3 milhões de toneladas que a empresa pretende produzir está dividida em 1,2 milhão de toneladas em Viga, 1,3 milhão em Esperança, e 500 mi l na Sanatanense.

Com um caixa de US$ 400 milhões, o diretor-executivo de Administração e Finanças da Ferrous, André Simão, afirmou que as negociações com um parceiro para tirar o projeto do papel estão em curso. Segundo ele, para tocar o projeto no ritmo estipulado no cronograma, que prevê produção de 25 milhões de toneladas de minério em 2013, o parceiro é imprescindível. “Se não houver acordo, ajustaremos os prazos e executaremos o projeto com recursos próprios, originados da venda da produção”, informou.

IPO volta à pauta e poderá ser na Bovespa

A oferta inicial de ações (IPO) da Ferrous poderá ocorrer na Bolsa de Valores de São Paulo (BM&F Bovespa). O plano inicial era abrir capital em Londres, mas Simão admitiu que a bolsa brasileira é uma alternativa. “Trabalhamos com as duas hipóteses. No entanto, essa decisão será tomada em conjunto com o novo parceiro da companhia”, afirmou. A ideia inicial de negociar entre 15% e 30% do capital da empresa também foi alterada. “Temos um volume financeiro que precisamos captar e é isso que vamos negociar”, disse. Com a venda de 30% a empresa previa arrecadar US$ 750 milhões.

Abs.

Alexandre